Un coup de foudre en une bouffée d'air
Beaucoup de gens me dirons Émilie tu as de la chance tu es française, à c'est personne je répondrai oui mais le Liban est dans mon coeur. Pourquoi ? Voilà la réponse, l'histoire d'un coup de foudre entre une française et le Liban.
On est le 7 juillet 1998, il doit être 19 heures, je suis dans l'avion qui fait Paris Prague, et après je dois faire Prague Beyrouth. Une seule question me traverse l'esprit et m'inquiète Que vais je faire à Beyrouth où mon père travail depuis 6 ans, où il y a la guerre ? A part pour voir mon père. Je me demande si il va avoir le temps de s'occuper de moi de me sortir, si je vais rencontrer des personnes parlant le français (car dans l'avion je n'ai entendu que de l'anglais et de l'arabe) et je suis nulle en langue étrangère. Enfin bon on verra sur place.
Ça y est il doit être 3 heures du matin et j'arrive dans un minuscule aéroport, je me demande même si on est vraiment arrivé car on nous fait sortir sur le bitume, je ne vois aucun bâtiment les valises sont à côté de l'avion, je n' ai que 17 ans et j'ai peur que mon père m'ai oublié.
Me voilà prêt de la porte de sorti, les gens pleure embrassent le sol, et d'un seul coup une chaleur m'étouffe elle est duce, je ne comprend ce qui m'arrive, je suis transporté tout est beau les gens qui veinèrent e Liban, qui pleurent, crient les larmes me montent je reste figée je désire tant que ce moment, dur pour toujours et ne s'arrête pas.
Mais voilà mon père qui m'a trouvé car je n'ai pas voulu le chercher je suis resté en bas de l'avion à profiter de ce miracle, de cette magie. de ce bonheur d'être là.
Mon père me dit "Qu'est ce que tu as? Tes fatigué t'inquiète pas on va aller à l'hôtel et verra demain."
Je lui répond "Papa, je veux vivre ici, c'est mon pays"
Il me rétorque " Ma fille c'est trop tôt, pour savoir, il faut vivre ici. De plus je croyais, que tu ne voulais pas venir, que tu avais peur."
Et là je lui dit " Mais papa, je viens de tomber Amoureuse du Liban, et je crois bien, que quoi qu'il arrive, quoi que tu me dise ne pourras pas changer ça. "
12 ans après on est tous à Gap, mais mon père me le dit et le sais, que mon Amour pour le Liban est toujours intact comme à la première seconde. Inch'Allah un jour j'irais vivre dans Mon pays.
Pour comprendre lisez la suite.
